 
          de stigmates d’attente initiale (cicatrice fibrotique) et de stérilisation des
        
        
          ganglions (ypN0 après curage) par la CTNA faisait poser l’indication des aires
        
        
          ganglionnaires SCL et CMI. Pour le volume axillaire, seul le degré
        
        
          d’envahissement chez les ypN1 était un facteur déterminant avec une irradiation
        
        
          AXL (en plus du SCL et de la CMI) dans 25% et 40% des centre, respectivement
        
        
          chez les patientes ayant < 3N+ ou >3 ou4 N+ (13).
        
        
          
            Conclusion
          
        
        
          Les indications et les volumes de RT après CTNA sont globalement dictés par la
        
        
          situation en préopératoire. Ce dogme, remis en cause à un certain moment au
        
        
          moins pour la RT ganglionnaire(RTG) étendue, redevient vrai dans une large
        
        
          majorité des cas à haut risque ou la RTG semble impacter au moins la survie sans
        
        
          métastases en situation adjuvante. Seules des études prospectives randomisées
        
        
          pourraient répondre de façon objective. Cependant, il est de plus en plus difficile
        
        
          d’envisage ce type d’étude dans le contexte d’une évolution continue des
        
        
          pratiques chirurgicales sur le staging axillaire pré thérapeutique (15-17).